mardi 31 août 2010

Mail de Bulard

A trip up Mail de Bulard from Pucelle via the Port d'Orle today with Ben and Ollie. After an 8.45 start from Pucelle we made the Port d'Orle (2318m) in about 2 hr 45mins. Just before the Port I caught up with a journalist and a photographer from Pyrenees magazine who were walking to Montgarri with a white bearded man in late sixties. He was very knowledgeable and telling them everything they needed to know for an article about the Port. Blimey he was fit - I could barely keep up with him!

From the Port we had planned on gaining the ridge to the west of the Port and following it all the way to Mail de Bulard crossing Pic des Cingles en route. I had seen the route described in a Spanish book and apparently it would take 2-3 hours and it was mostly grades II and III. The ridge is mostly schist and horribly loose, we wasted nearly 50 minutes trying to find a safe way onto the start of the ridge. Ben managed to get up but it was clear that it was going to take a lot longer than 2-3 hours and that the terrain was not great. We decided to bail out and returned to the Port.
The ridge between Mail de Bulard and Port d'Orle

From here we followed the old mining tramway of the Mine de Fourcail to the little lake at 2323m and then climbed up to the larger lake at 2496m before making the summit via the South-West ridge.
The summit (top left) and the upper lake

The views from the summit are the best of any peak in the Couserans and the atmosphere was crystal clear today.
View towards the Encantados in Spain - click on image for a closer view

We had a vague plan to descend the north ridge, but in a quick search on the Internet and in my books I had failed to find any descriptions for the route, only tales of people retreating. I descended to the subsidiary peak at 2646m for views to the old mine buildings and to try to see the way ahead. As is often the case looking down a towered ridge much of the route was hidden and it was difficult to see how difficult it might be. I climbed back up to the summit where Ben and Ollie were keen to give it go, but it was already nearly 3.00 and had we got stuck at the bottom of the ridge where the main difficulties are, we would have had to climb back to the summit to return home and face possible benightment. It had been a great day so we left the north ridge for another occasion.

We descended the West ridge towards the Col de Villeneuve before striking back South-East to the abandoned mine de Fourcail and it's tramway. We followed the route of the tramway from Spain through the Port d'Orle to France, then through two more short tunnels to discover the ruined "station de cables" where the contents of the carriages on the tramway (zinc, lead and silver ore) were transferred to a cable car and transported down the mountain. Although the mine is in Spain it was actually a part of the mines on the French side of the frontier (mines des Bentaillou, Mail de Bulard and Montoulieu) the mine closed after the first world war. At the station beneath Pic des Cingles we startled some isard which ran down the mountain.
Isard in flight

A long descent back to the car, collecting some flowering meadow sweet on the way (which might make a nice champagne).

Pic de Cornave
Close up of the folded rock beds under the summit

A hot day with 2100m of ascent and 22km distance in about 11 hours.

Une excursion au Mail de Bulard de Pucelle via le Port d'Orle aujourd'hui avec Ben et Ollie. Après avoir commencé a 8,45 de Pucelle nous avons fait le Port d'Orle (2318m) en 2h 45 min. Juste avant le port, j'ai rattrapé un journaliste et un photographe du magazine "Pyrénées" qui se promenaient à Montgarri avec un homme à barbe blanche il a peut-etre soixante ans ou plus. Il a été très bien informés et il les dire tout ce qu'il faut savoir pour un article sur le port. Il était en forme - je pouvais à peine tenir avec lui!

Depuis le port, nous avions prévu de gagner la crête à l'ouest du port et le suivant à Mail de Bulard via Pic des Cingles. J'avais vu la route décrite dans une livre espagnol et, apparemment, il faudrait 2-3 heures et il était quelques pas de II et III. La crête est principalement de schiste et horriblement lâche, nous avons perdu près de 50 minutes à essayer de trouver une façon sécuritaire sur le début de la crête. Ben a réussi à se lever, mais il était clair qu'il allait prendre beaucoup plus longtemps que 2-3 heures. Nous avons décidé de sortir et retour au port.

De là, nous avons suivi le tramway anciennes de la mine de Fourcail vers le petit lac à 2323m, puis monta au plus grand lac à 2496m avant de faire le sommet par l'arête Sud-Ouest.

La vue depuis le sommet sont les meilleurs dans le Couserans et l'atmosphère était de tres clair aujourd'hui.

Nous avions un plan vague de descendre la crete nord, mais dans une recherche rapide sur Internet et dans mes livres je n'avais pas réussi à trouver aucune description de l'itinéraire, seulement les racontes que des personnes en retraite. J'ai descendu à la pointe filiale à 2646m pour les vues de bâtiments de la mine ancienne et d'essayer de voir la voie à suivre. Comme c'est souvent le cas regardant vers le bas d'une crête dominait une grande partie de la route était caché et il était difficile de voir comment il pourrait être difficile. Je suis remonté jusqu'au sommet où Ben et Ollie ont tenu à lui donner aller, mais il était déjà près de 3.00 et a nous nous sommes enlisés dans le bas de la crête, où les principales difficultés sont, nous aurions eu à remonter à la Sommet de rentrer chez eux et le visage benightment possible. Il avait été un grand jour et nous avons laissé la crête nord pour une autre occasion.

Nous descendons la crête de l'Ouest vers le Col de Villeneuve avant de frapper vers le sud-est de la mine abandonnée de Fourcail et de tramway. Nous avons suivi l'itinéraire du tramway de l'Espagne par le port d'Orle à la France, puis par deux tunnels court pour découvrir les ruines "station de câbles", où le contenu des voitures sur le tramway (zinc, plomb et du minerai d'argent) ont été transférés à un téléphérique et transportés vers le bas de la montagne. Bien que la mine est en Espagne, il était en réalité une partie des mines sur le versant français de la frontière (des mines Bentaillou, Mail de Bulard et Montoulieu) la mine a fermé après la première guerre mondiale. A la gare, sous Pic des Cingles nous surpris quelques Isards qui descendent de la montagne.

Une longue descente vers la voiture, mais nous avons recolté quelques fleurs de reines de prés sur le chemin (qui peut fait un champagne).

Une chaude journée avec 2100m de montée et 22 km de distance dans environ 11 heures.

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